Jeu-concours n°3

Le but est simple, écrire comme si vous étiez Edward à un moment de la saga ( sauf de Breaking Dawn ) que vous voulez. Le texte doit faire 10 lignes. Le vainqueur remportera un gif avec les photos de son choix !

- Ca ne t’ennuie pas si je passe chez toi ? murmurai-je, le souffle court.

- Bien sûr que non.

- Tout de suite ?

- Pourquoi pas ? sa voix était neutre, mais le regard qu’elle avait levé vers moi me fit sentir l’inconfort que lui procurait cette conversation. Je dois juste poster une lettre à Renée. Je te retrouve là-bas.

Je vis l’enveloppe qui traînait sur son siège, m’en empara d’un geste vif.

- Je m’en charge. Ca ne m’empêchera pas d’être chez toi le premier.

La douleur m’empêchait d’émettre un son plus audible qu’un murmure. Pour compenser, j’étirai mes lèvres en un mince sourire. Je vis qu’elle n’était pas dupe cependant.

- A ta guise.

Je fis demi-tour, m’engouffrais dans la Volvo, et partis sans me retourner.

Une fois la lettre pour Renée postée, je me rendis à sa maison. Je garais la voiture à l’emplacement de Charlie, sorti de la voiture. Je me dirigeais vers sa fenêtre, me hissais dans sa chambre. Là, je marquais une pause. C’était la dernière fois que j’y mettais les pieds. La souffrance faillit me submerger, je la refoulais. Plus tard. Je fondis vers son lecteur CD bon marché, en sortais la composition que je lui avais confectionné. J’ouvris l’album que Renée lui avait offert, retirai les photos sans même les regarder. Seule l’inscription qu’elle avait écrite y demeurerait. « Edward Cullen, cuisine de Charlie, 13 sept. »

Je fourrai le tout dans ma poche, avec les billets d’avion d’Esmé. Je devais faire demi-tour, quitter la chambre de la fille qui possédait mon cœur pour l’éternité, sans jamais y remettre un pied.

Devant la fenêtre, j’hésitais. C’était puéril et idiot, mais je ne pouvais pas partir en ne laissant aucune trace de moi dans sa chambre. Me maudissant, je dégageai une latte du parquet, y glissai les photos, le Cd et les billets d’avion. Imbécile. Egoïste.

Une idée me traversa l’esprit. Je descendis dans la cuisine, me saisis d’un carnet de notes, rédigeai avec un bic. « Suis partie en balade sur le sentier avec Edward. N’en ai pas pour longtemps. B. ». J’imitai son écriture à la perfection. Je remontai à l’étage. Je sortis de la chambre, referma la fenêtre derrière moi, et retournai dans la Volvo pour l’attendre. Elle arriva, le visage fermé. Je sortis de la voiture quand elle descendit de la Chevrolet. J’ôtai son sac de ses épaules, le remis sur son siège.

- Viens te promener avec moi. Mon ton était mort, aussi mort que moi et mes espoirs.
Je jetai un coup d’œil à la Volvo. Emmett la déplacerai dans peu de temps, comme il me l’avait promis. Pour ma part, je courrai. Je l’emmenai dans la forêt, pas trop loin cependant, pour qu’elle ne se perde pas en rentrant chez elle. Ca n’allait pas être facile. Elle ne me laisserait pas partir. J’allais être obligé de mentir comme un arracheur de Jeu-concours n°3 898387

pour la convaincre. La blesser encore, une dernière fois.

« C’est nécessaire », me répétai-je inlassablement. Ma décision était prise, ma résolution de fer. Pas question de flancher maintenant. Je m’adossai à un tronc, la fixa.

- Allons-y, discutons.

Je pris une grande inspiration, savourait la manière dont son odeur me brûlait la gorge, m’imprégnant de son parfum.

- Nous partons, Bella. Mon visage était composé, je ne flancherai pas. Je la sauverai de ce que je suis, la protègerai, même contre sa volonté. Elle avait le droit de vivre une vie normale.

- Pourquoi maintenant ? Encore un an, et…

- Il est grand temps, Bella. Nous ne nous sommes déjà que trop attardés à Forks. Carlise a beau prétendre avoir 33 ans, il a l’air d’un gamin. C’était inéluctable, alors aujourd’hui ou demain…

Elle me regarda d’un air interloqué. Un éclair de souffrance passa dans son regard, je me mordis la langue de toutes mes forces. Le goût du sang me parvint. Je devais être fort. Pour elle.

- Quand tu dis nous…

- Il s’agit de moi et des miens. Quelle sottise. Ne faisait-elle pas partie des miens ? elle agita la tête.

- D’accord. Je viens aussi.

Je sentis une autre vague de souffrance me submerger. L’effort que je dus faire pour garder mon masque était insupportable. Je respirais profondément, submergé par son parfum. Il n’était pas question que je lui montre ma faiblesse. Je ne devais montrer que de la résolution.

- Impossible, Bella. Notre destination…ce n’est pas un endroit pour toi.

- Quel que soit le lieu où tu es, j’y ai ma place. Ces mots me poignardèrent littéralement. Je devais la protéger de moi, de son amour pour moi.

- Je ne t’apporte rien de bon, Bella. Enfin une parole sensée.

- Ne sois pas idiot. Ses mots étaient une supplique. Tu es ce qu’il y a de mieux dans ma vie, ajouta-t-elle.

- Mon univers n’est pas fait pour toi.

- Ce qui s’est passé avec Jasper, ce n’était rien, Edward, rien du tout.

Rien ?? Juste la preuve que j’étais incapable de lui donner ce qu’elle méritait. Incapable de la protéger de ce que j’étais.

- En effet. Il est juste arrivé ce qui devait tôt ou tard arriver.

- Tu as juré ! à Phoenix, tu as promis que tu resterais… j’attendais cette réplique, je m’y étais préparé. Mon ton se fit plus dur, tandis que je réalisais que ce n’était pas la première fois que je trahissais mes promesses, sa confiance.

- Tant que c’était ce qu’il y avait de mieux pour toi.

- Non ! C’est à cause de mon âme, hein ? Carlisle m’en a parlé. Je m’en moque, Edward, si tu savais comme je m’en moque ! Prends-moi mon âme. Je n’en veux pas, sans toi. Je te l’ai déjà donnée.

Je soupirais. Je ne la méritais vraiment pas. La souffrance me déchira les entrailles, me submergea. Je fixai le sol, afin qu’elle ne puisse voir le combat que je livrai. Qui a dit que les vampires ne pouvaient pas souffrir ? Ma bouche frémit à la pensée de cette ironie. Un humain n’aurait jamais été capable d’endurer la souffrance que je ressentais à présent. J’allais devoir trancher dans le vif pour qu’elle renonce à moi. Si mon cœur avait pu battre, il se serait arrêté à cet instant. Il se serait brisé. Déchiré. Je relevais mes yeux vers elle, elle ne pouvait y voir que de la détermination.

- Je ne veux pas que tu viennes, Bella. Je prononçai les mots lentement, pour ne pas hurler. Je la fixai. Elle avait l’air hagard, perdu. Quand elle comprit le sens de mes mots, la souffrance envahit son regard, son visage, son corps entier. Je refoulais l’envie de la saisir dans mes bras, la serrer fort contre moi, la rassurer, lui dire que je l’aimais et ne la quitterais jamais.

- Tu…me…quittes ?

- Oui.

- Ca change tout. La fixant, je réalisai l’horreur de la situation. Cette seule phrase avait pu la convaincre que je ne l’aimais pas. Après toutes les fois où j’ai dit que je l’aimais, toutes les preuves que je lui avais apportées, cette seule petite phrase avait pu la convaincre que je ne l’aimais pas. A quoi pensait-elle ? Elle n’avait donc pas compris à quel point je n’existais que par elle ? A quel point toute mon existence n’était qu’elle ? Qu’elle était devenue l’essence même de mon univers ? Je me ressaisis. Elle était humaine, après tout. Elle ne pouvait pas avoir idée de l’amour que je lui portais. Que je n’avais attendu qu’elle, pendant toutes ces décennies.

- Naturellement, dis-je en détournant le regard pour qu’elle ne puisse voir l’amour que je lui portais en vérité, une part de moi continuera à t’aimer. En quelque sorte. Mais je suis…las de jouer un rôle qui n’est pas moi. Je ne suis pas humain. Je la fixai à nouveau. J’ai trop longtemps laissé l’imposture s’installer, j’en suis désolé.

- Arrête. Ne fais pas ça. Mes yeux la scrutèrent. À quoi pensait-elle ? je l’avais déjà fait.

- Tu ne m’apportes rien de bon, Bella.

- Si…c’est ce que tu souhaites…j’acquiesçais, conscient du ridicule de sa phrase. Soudain, en voyant la douleur qui se peignait sur son visage, une idée me traversa l’esprit, me paralysant de terreur.

- J’ai une dernière faveur à formuler, cependant. Si ce n’est pas trop te demander. La fixant, j’eus peur qu’elle n’accepte pas. Je tressaillis sous la douleur un instant, me ressaisis rapidement. J’aurais l’éternité pour me morfondre par la suite. Je devais être fort en ce moment.

- Tout ce que tu voudras. L’amour que j’avais pour elle me submergea une fois encore. Elle était extraordinaire.

- Pas d’acte téméraire ou stupide. Entendu ? elle hocha la tête, je me ressaisis. Elle ne devait pas comprendre. C’est à Charlie que je pense, bien sûr. Il a besoin de toi. Prends soin de toi…pour lui. Et pour moi, faillis-je crier.

- D’accord. Mon corps se liquéfia. J’allais bientôt devoir partir.

- En échange, je vais te faire une promesse. Je te jure que tu ne me reverras plus jamais. Je ne reviendrai pas. Je ne t’entraînerai plus dans ce genre d’épreuves. Vis ta vie, je ne m’en mêlerai plus. Ce sera comme si je n’avais jamais existé.

L’image des billets d’avion, photos et CD sous la latte du plancher de sa chambre me vint en tête. Je la repoussai. Ses jambes vacillèrent, j’entendis son cœur accélérer. Sa souffrance était insupportable.

- Rassure-toi, vous autres humains avez la mémoire courte. Le temps guérit les blessures de ceux qui appartiennent à votre espèce. Je n’aurais pas cette chance. Mais je méritais de souffrir.

- Et la tienne ? souffla-t-elle.

- Eh bien… Je n’oublierai pas. Toutefois, ma…race se laisse facilement distraire. Je souris à nouveau devant l’ironie et le mensonge éhonté de cette phrase. Voilà, c’est tout. Nous ne t’importunerons plus.

- Je ne reverrai pas Alice, haleta-t-elle au bout d’un moment. L’image de la colère d’Alice quand elle avait deviné (ou plutôt « vu ») mes intentions me traversa.

- Non. Ils ne sont plus ici. Je suis resté pour te dire au revoir.

- Alice est déjà partie ?

- Elle aurait souhaité t’expliquer. Je l’ai persuadée qu’une rupture brutale valait mieux. Pour toi. Adieu, Bella, dis-je d’un ton résigné, tant que j’en avais encore la force.

- Attends ! cria-t-elle en basculant en avant, les bras tendus vers moi.

Sans pouvoir résister, je fondis vers elle. Me ressaisissant, je rabattis ses poignets le long de son corps. J’embrassai une dernière fois son front.

- Fais attention à toi, chuchotai-je.

Je respirais une dernière fois son parfum, la brûlure de ma gorge me ravit. Une douleur tellement insignifiante, tellement supportable. Dominant mon envie de rester auprès d’elle, refoulant tous mes instincts qui me hurlaient de ne pas partir, j’émis un souffle d’agonie et parti en courrant. Je ne sentais rien, ni le souffle du vent qui avait l’habitude de caresser ma peau pendant que je courrais. Je n’étais plus. J’avais laissé tout ce que j’étais derrière moi, avec cette fille qui continuerait à vivre sans moi, je lui avais laissé mon cœur, mon âme, mon essence. Je n’étais plus. La douleur me traversa comme un fer chauffé à blanc, et je sus qu’elle ne partirait jamais. J’accélérai les foulées, et quand je sus que j’étais assez loin, je me repliais sur moi-même en position fœtale, boule de souffrance insurmontable. Je vis l’enfer qui m’attendais juste devant mes yeux, et l’acceptais avec résignation.

NO FLOOD

Juste les textes écrits, pour la lisibilité, et il me faut minimum 2 participants . :-)

Hééééé...j'aimais bien les commentaires des gens moi!! Crying or Very sad

Allez, je poste un texte écrit rapidement ce soir (rien que pour le merveilleux texte d'Harmonie puisse gagner ce concours).

Morte. Le mot résonnait cruellement en moi. Les ténèbres du grenier dans lequel je me terrais depuis de longs mois semblaient vouloir m’étouffer et je sentis soudain la douleur déferler en moi. Si mon cœur avait battu, il se serait brisé sous cet assaut. Mon monde s’écroulait, les ténèbres m’envahissaient. Elle était morte et avec elle, tout s’éteignait.

Quand Rosalie m’avait annoncé nerveusement la nouvelle au téléphone, je n’avais pu y croire. Irréel. Et puis quand j’avais appelé chez les Swann en me faisant passer pour mon père, un jeune homme avait froidement confirmé. Elle était morte. Morte. Perdue. A jamais.

Mon cœur, mort, se brisa une nouvelle fois. La douleur que j’avais ressentie en devenant vampire n’était rien à côté de celle que j’éprouvais à présent. Elle n’était plus, elle ne sourirait plus. J’étais seul et je ressentis cette solitude cruellement. Tout au fond de moi je sus que mon existence n’aurait aucun sens sans elle. Elle était ma vie. Et sans Bella je n’étais rien. A l’évocation de son prénom, je ressentis une douleur intense dans ma poitrine et jusqu’au tréfonds de mon âme damnée.

Comment avais-je pu la laisser seule ? Comment avais-je seulement pu la quitter ? Et dire que je songeais chaque jour à la rejoindre. Un jour, il aurait fallu seulement une journée pour que je sois à nouveau à ses côtés. Et mon existence aurait eu un sens, Bella lui en aurait donné un. Si elle avait voulu, j’aurais été heureux de passer les dix prochaines années à genoux à ses côtés.

J’étais responsable de sa mort. J’avais provoqué son malheur jusqu’à la fin. Rien de téméraire ou de stupide, avait-elle promis. Et maintenant elle était partie. Nous étions séparés pour l’éternité. J’étais seul.

Ma poitrine explosa et je souhaitais alors mourir de cette douleur atroce. Bella était morte… Je songeais alors à ce qu’était mon existence quelques mois plutôt. Je vivais alors auprès de ma bien-aimée, je pouvais la sentir, la voir, la toucher à chaque instant du jour et de la nuit. Et je me demandais quelle folie m’avait alors entraîné si loin d’elle. A cet instant, j’aurais tout donné pour pouvoir revenir quelques mois plus tôt et ne jamais la quitter. Et maintenant, il était trop tard. Tout était fini. Elle était morte et je ne pouvais lutter contre cela.

La souffrance me transperça de part en part. La peine, la douleur, les regrets se mélangeaient et au dessus de tout cela flottait l’image souriante de ma Bella. L’image était si vivante que la douleur que je ressentis à cet instant précis fut indescriptible. J’étais définitivement séparée d’elle. Le paradis qui lui était réservée m’était à jamais fermé.

Puis soudain je me sentis étrangement serein malgré la douleur insoutenable. Je ne la rejoindrais pas certes mais l’Enfer qui m’était destiné m’attendait. Bella était partie, pour toujours, à jamais… Je lui en avais fait la promesse, je la suivrais jusque dans la tombe. Je l’aimais plus que tout et l’Eternité sans elle était pire que l’Enfer. Les maux les plus pénibles n’étaient rien à côté de la souffrance provoquée par sa perte.

Je souris une dernière fois à l’image flottante de Bella face à moi. Les Volturi accèderaient à ma requête et je pourrais enfin la suivre. Je murmurais doucement : « Je t’aime ».

Et voilà!^^

Arhaaaaa haaaa...***pleurs, pleurs, pleurs***
c'est magnifique Lili!
ça me donne envie d'aller me suicider avec tiens...bon jvais pas le faire, mais l'intention y est :p
c'est magnifique!

Je vote pour que Lili gagne, parce qu'elle au moins a respecté les consignes, c'est-à-dire écrire un texte de plus ou moins dix lignes, pas comme moi qui ai pas pu m'empêcher de réecrire limite tout le chapitre lol!

OHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH LES DEUX SONT MAGNIFIQUES !!!!!

Je peux pas voter les filles je suis désolé je suis fan des deux :$$$$$$$$$$

Je lui avais dit qu'elle ne me reverrait plus, moi je voulais la voir mais je ne pouvais pas, il fallait qu'elle fasse sa vie sans moi, sans aucun vampire près d'elle, il fallait qu'elle comprenne que j’étais dangereux et qu’elle ne devait pas rester avec moi. Bella avait encore une vie devant elle, elle s’en remettra, moi pas…

Je courais dans la forêt que je connaissais si bien je courais pendant des heures cheveux au vent pensant à ma vie sans Bella. Bella. Elle me manquera, je ne sais pas ce que je ferais sans elle. Mais après tout c’était de ma faute, si moi qui l’avait éloigné de moi parce que je suis dangereux et que je ne pourrais pas m’en remettre si il lui arrivé quelque chose, si il lui arrivé quelque chose de ma faute! A cet instant je pensai à toutes les choses qui la rendait si merveilleuse : son odeur, sa manie d’attirer les ennuis, sa maladresse, sa façon de pleurer quand elle lisait un livre triste. J’ai tout gâché… Adieu Bella, porte-toi bien dans ce monde. Aime et soit aimé…

Oh mon texte est tout petit comparé aux autres

Elle était si belle, là endormie, une seule chose me tracassait... je ne pourais jamais la réchauffer quand elle aura froid je ne pourait jamais la sérée dans mes bras toute une nuit pourtant j'aimerais tellement. Par contre lui le peut, il peut réchaufer son coeur il peut la sentir contre lui toute une nuit durant et le pire c'est que lui aussi aime ça. Mais elle a besoin de la chaleur de son corp, elle en a besoin... il falait que je me répète cette phrase pour ésseiller de me calmer, pour ne pas sauter sur jacob et le découper un infime morceaux. Je ne suportais pas de la voir dans ses bras et pourtant elle en avais besoin... elle avait l'air si fragile et pourtnt elle avait peur pour moi... pour nous... biensur elle avait peur aussi pour lui c'étais légitime mais je ne suportais pas cette idée. Je ne pouvais suporter qu'elle puisse l'aime plus que moi. Pourtant il avait été là quand moi je suis parti... quand j'ai comis la plus grosse erreure de ma vie... Elle avit été tellement détruite par mon geste... je m'en voudrais toujours. comment avais-je pus lui faire ça? je voulait juste la protéger et mon geste avit eu l'effet inverse. quel débile je suis. elle a beau me répéter que maintenant que je suis la elle va mieux et qu'elle ne soufre plus mais pourtant elle soufre... elle souffre de ne plus pouvoir le voir a cause de nos stupide rivalitées. elle en soufre et ça se voit

bon mon texte a moi est nul je ne suis pas trés douée pour les histoire mais je voulais ésseiller... et je suis pas super contente du résultat mais je peut pas vraiment faire mieu
je sais pas si c'est facile a comprend de quel moment je parle donc pour ceux qui ne voyent pas c'est dans hésitation quand ils sont sous la tante avant la "bagarre" avec les nouveaux nés et DESOLE POUR L'ORTHOGRAPHE c'est pas dutout mon truc
sinn les autre j'adore vos textes!

Ho mon Dieu!!

Vos texte sont magnifiques!

Je n'ai pas pu retenir mes larmes en lisant celui de Lili
et celui de Harmonie!

J'avais l'intention d'essayer parce que j'adore écrire, mais je crois que je pourrais pas rivaliser... J'essayerai..peut-être^^

Voila voila, désolé mais je peux pas choisir Embarassed

ils sont tous super!

Bisous et bravo!

j'ador vos texte les filles mais je suis désoler en se moment =$ j'ai vraiment pas le temps d'écrire de texte j'écris déja un livre c'est galaire -_-' mais il est trop bien enfin c'est se que mon dit mes lecteurs ^^

Nouveau-né Nombre de messages : 1 Age : 30 Date d'inscription : 22/09/2008

J'aime trop tout vos texte!
Malheureusement je ne suis aps assez douée pour en écrire un moi-meme...

Je la regardai penché sur sa voiture,elle avait son MP4 aux oreilles.
Tout a coups je sentis le danger,mon instinct se declencha,au debut je ne saisis pas.Peu a peu je compris,je vis la camionette de ce jeune noir dont j'avais oublier le nom,déraper a une vitesse epoustouflante.Je compris que la camionette allait s'ecrasé sur Bella.
Je l'aimais trop pour la laisser mourir !
-NON ! pensai-je.
Je courus, enfin je transperçais l'aire de ma vitesse.
Je pris Bella dans mes bras et de ma force que je qualifierai de monstre je stoppa la camionette de ma main.
La portiere s'enfonça sous ma paume.
Il me fallut une seconde pour comprendre.
je deglutis.
Je venais de me vendre, j'avais sans le vouloir attirer Bella dans un monde...dans MON monde.
Je compris mon erreur.
Je me retournais, elle me regardait dans ses yeux je compris qu'elle était effrayé par ma force...une force que je ne peu pas controlé.
c'etais comme une seconde nature, un seconde nature que je voulais repousser mais qui était plus forte que moi.
Elle me regarda sans comprendre je venais de la sauver mais en méme temp de l'attirer dans un monde que je qualifier "d'horrible".
j'eus un moment d'hesitation,me regardant elle ne saisit pas se qui venait de se passer.
Je decidai de fuir.
Je ne pouvais pas laisser les autres me voir.
Je m'enfuis, je ne regrettai pas de l'avoir sauvé mais je regrettai de lui avoir imposer tant de question.
Me regardera t'elle comme un monstre ? Un ogre ? Un ange ? non pas un ange.
les anges n'ont jamais tues.

quand pensez vous ? je voudrais avoir votre avis.Merci d'avance ! What a Face

désoler pour les fautes d'Orthographes ! Embarassed

-Je la vois elle arrive,elle sera-la demain.Dit Alice

A ce moment j'avais peur.Elle arrivait,celle que je desirais le plus,celle a qui je pourrais dire "Je t'aime" ces doux mots que l'on prononce a la personne qu'on aime.
je tourner le dos a Alice pour monter dans ma chambre,pour ne plus y penser je prend un CD de Debussy et j'ecoute " clair de lune ".
La musique s'engoufre dans mes oreilles,je ferme les yeux et m'allonge dans mon canapé.
Mais j'entend un autre bruit, un bruit de l'extérieur.
Un animal ? je me concentre... une brebis.
Ma gorge se met a me brulé,j'ai faim. Je decide de la poursuivre,je monte aux arbres, et j'ecoute, sa y est je la vois.Je decends, je m'approche...elle boit.
Une branche se casse sous mon pied droit,sa y est elle m'a repéré,elle leve la téte et s'enfuit. Je la suis,je la depasse. Elle rencontre un tronc et elle bondit, je me place, avant qu'elle n'est pu réagir, elle attérissa dans mes bras.
Je la plaquais au sol,et pour ne pas la faire souffrir lui rompit le cou.
Puis,j'enfonçais mes dents dans sa chair.
Dans le cou de l'animal je sentais le sang chaud couler dans ma gorge,comme un doux elexir.Je pris dans mes bras le corp sans vie et le posa prés d'un grand chene.
Je rentrai par la fenetre de ma chambre, me coucha sur mon canapé est j'attendis,je regardais la lune plus les heures passaient plus la lune disparraissait.
Au petit matin,Je descendis,le temp de me changer. Je partais pour mes cours.
2 heures d' éducation physique et de Mathématiques.
Arrivant au refectoire j'ouvrai la porte. Rosalie,Emmet,Alice et Jasper m'attendais.
Mais je sentis une odeur en ouvrant la porte, elle était la...
J'ouvris la porte,le bruit l'interpella.J'entendis la discution qu'elle avait sur moi bien sur.

-Et lui c'est qui ? demanda t'elle.
Elle étais assise a une table avec l'une des reporters du lycée et une fille dont j'avais completement oublier le nom

-C'est Edward Cullen,c'est une beauté fatale comme tu peux le voir,mais il semblerait que personne ici ne soit a sa hauteur.Et ca m'est egale j'te le jure.Donc ouais sans deconné perd pas ton temp !

-humm, j'en avais pas l'intention.dit-elle

je m'assis, elle se retourne et me regarde,je la regarde, je sens son parfum,je....j'ai faim.Je ne mange rien.la nourriture humaine m'est hideuse.
La sonnerie retentit,je me leve et me precipite dans le couloir,j'entre dans la classe de science.je m'assois et attends.Elle arrive,Elle entre, le ventillateur est en marche elle s'arrete devant.
Je Deglutis.Son......son parfum....Je la desire.....
Je porte ma main a mon visage comme pour cacher l'odeur ennivrante qu'elle degage,elle a vu mon geste.elle ne comprends pas;

-Bonjour bienvenue en classe,sa va bien se passer voici ton materiel.Dit le professeur.Qu'elle est ton nom ?

-Mon nom est Isabella,mais appellez moi juste Bella.

-Voici ta place !

Elle s'approche et s'assoit,notre professeur nous donne un pot en verre et nous explique que nous allons osbervés les vers plats.
il pose 2 pots.En serrant mon poing je pousse l'un des pots vers elle,elle ne comprend ma reaction.J'avale ma salive et essaye de me calmer.

Bella me regarde,moi aussi je pose mon regard sur le sien,elle ne sait quoi faire,donc elle decroche son regard du mien.Mais moi je l'observe attentivement,je reste la,a la fixer.
A la fin du cour avant la sonnerie,La brulure est revenue soudainement me frappant de plein fouer."Je dois partir pensai-je"je me leve.La sonnerie rettentit.
Je me précipita dans la salle des professeurs et demande a etre placé dans un autre cour pour ne plus suporté son odeur.

-Il n'y a plus de place dans aucun cours ! dit une femme qui travaillait dans l'etablissement.

-Il doit bien rester une place ! physique ? bio-chimie ?

-Une minute Mademoiselle !dit-elle a Bella.Elle avait eut la meme idée que moi.
Je me retourne,elle me regarde.

-Trés bien je n'aurais cas souffrir en silence ! dis-je tout haut.Je sortis.

Je prenais ma Volvo, est renter a la maison.Je decide de rester quelques jours chez moi ,de peur de lui faire du mal.

je ne peus pas attendre que le temps se couvre pour la revoir. je me retrouvais donc enfermé dans ma voiture j'usqu'a capter une penser ou son visage dans les esprit de ces individus. enfin je trouvais angela et jessica dans une boutique a 500metres dans le carrefour de fairmond avenue et spruce st elle choisissait leur robe pour le bal
Bella est encore énervée. Tyler en a trop fait. Mais je ne peux pas croire qu’elle soit à ce point en colere. Au moins, elle sait qu’elle a un cavalier de rechange pour le bal de fin d’année. Et si Mike ne s’amusait pas au bal, et ne voulait plus sortir avec moi? Et s’il demandait à Bella de l’accompagner au bal de fin d’année? Est-ce qu'elle aurait demandé à Mike de l’accompagner au bal si il n’avait pas parlé de notre rendez-vous ? Est-ce qu’il pense qu’elle est plus jolie que moi? Est-ce qu’elle pense qu’elle est plus jolie que moi?
elle m'enervait a jacasser autant, au moin bella swan ne voyait pas tout ce qu'elle ressentait a son egard ce qui la proteger pour l'nstant... elle revassait apuyer sur une chaise elle avait se regard que je n'aimais pas lui trouver de la tristesse, du chagrin et une once de colere a quoi pouvait elle pensait a qui elle pensait cette question me fendait le coeur car elle ne pouvait pensé a moi. mais elle m'avait dis oui ce mot me donna une sorte de soulagement j'etais celui a qui elle avait accepter et non a tyler a eric ou encore a MIKE de passait le provhain week end je me satisferai de ca mais que pouvais je lui emandais d'autre a cette fille qui pouvait mourir que je pouvais tuer en un simple touché elle ne senté pas le danger que je representer.lorsque j'en avais fini avec ma reflexion je venais de remarquer qu'elle n'etais plus la tout mes sens etait en alerte pourquoi avait elle quittait ses amies alors je me concentré sur celles ci
j'espere que bella retrouvera le chemin j'usqu'au restaurant on aurai peut etre pas du se separer
-tu crois qu'on a bien fais de laisser seule bella, demanda Angela
on s'en fout de bella
- Ça va aller. On aura bien assez de temps pour aller au restaurant, même si on fait demi-tour. De toute façon, je pense qu’elle voulait être seule.
je vis la librairie auqu'elle elles l'avait laisser, mais je ne pouvait y aller a pied le soleil etait encore la et il faudait que je me cache a l'ombre des batiment ce qui limitera ma possibilié de deplacement. Mais pourquoi fallait il qu'elle se mette toujours en danger ne voiyait elle pas a qu'elle point elle produisait les catastrophes.

Pas mal ! les idée de Jessica ! c'étais une bonne idée ! Razz

^j'aime bien aussi le tien tu es deja plus rapide que moi le temps qu'il ma fallu Sleep

Moi aussi j'ai mis du temp pour gagner il faudrait etre Edward ou qu'il soit a coté de nous !
Quequ'un a un Edward a me préter ?

surtout repondez pas toute en meme temps Evil or Very Mad

Je crois que le forum auraist un record de fréquentation !

je n'en doute pas une seule seconde venez venez .... pirat

On arrive !!!!
et la ya plus de 1 0000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 JEUNES ( FILLES ) QUI S'INSCRIVENT !!
laisse tomber les boulot des administrateurs ! Jeu-concours n°3 898387